Portrait : Sedoud Mas Ansan dans le Courrier de Laval

Combattre les tabous à la force des mots

Avec Le Doyen tire sa révérence, Sedoud Mas Ansan, publie son 3ème roman, le second paru aux Editions Persée.

Né en Algérie, il fuit son pays natal dans les années 2000 pour rejoindre Montréal et le Québec. Sa femme et ses enfants ne pourront faire le voyage que 7 ans plus tard.

Chauffeur de taxi le jour et écrivain la nuit, ses ouvrages lui permettent de porter un regard différent « sur diverses traditions berbères, que [je] trouve critiquables, afin de faire tomber tous les tabous »

Le journal francophone Le Courrier de Laval lui consacre un article dans la rubrique culture du 10 décembre dernier.

L’intégralité du portrait est à retrouver ici.

Un rêve prémonitoire?

Pour ce troisième roman, celui qui a toujours refusé l’aménagement d’espaces particuliers de nature religieuse dans l’usine qu’il gérait    en Algérie, explique s’être inspiré d’un rêve qui lui est venu dans les années 70 et dont il avait couché un premier jet sur le papier.

Ce nouvel ouvrage aborde le thème du poids de la tradition en mettant en scène un homme de 80 ans qui n’a jamais quitté son village natal et qui a consacré sa vie à construire une famille selon les us et coutumes. Un rêve vient alors ébranler ses convictions et remettre en cause son existence…

Le Doyen tire sa révérence est toujours disponible en librairie et sur la FNAC ou Amazon.